le train de la vie texte

Letrain de la vie. C'est un petit train qui fait des arrêts pipi au lit. Des arrêts café au lait. Il fait des "tiens" des "comme c'est curieux" des "Ah bon t'en es bien sûr". Des "vraiment je savais pas". Chacun le prend. Y'en a qui voyagent assis. D'autres qui dorment debout. C'est ça le Chacundes époux a pouvoir pour passer seul les contrats qui ont pour objet l'entretien du ménage ou l'éducation des enfants : toute dette ainsi contractée par l'un oblige l'autre solidairement. La solidarité n'a pas lieu, néanmoins, pour des dépenses manifestement excessives, eu égard au train de vie du ménage, à l'utilité ou à l Lesfunérailles rassemblent les familles et les amis autour d’un lien commun : le défunt.C’est donc l’unique et dernière occasion pour les proches de rendre un dernier hommage à l’être aimé. Puisque les obsèques sont une occasion de célébrer la vie du défunt et de le laisser partir pour un monde meilleur, les textes d’enterrement sont donc nécessaires durant ces moments forts. Àla naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Untexte enterrement est destiné à une prise de parole à la mémoire du défunt durant ses obsèques ou la cérémonie d’hommage à l’anniversaire de son décès. Il prend la forme. soit d’une lecture d’un texte ou poème. soit un témoignage nonton film veronica full movie sub indo lk21. JackynouAdminNombre de messages 593Age 73Date d'inscription 05/03/2008Feuille de personnageJEUX DE ROLE Sujet Le train de la vie. Mar 7 Oct - 1514 Le train de la y a quelques temps, j’ai lu un livre où la vie était comparée à un voyage dans un train. Une lecture très vie est comme un voyage dans un train on monte, on descend, il y a des accidents, à certains arrêts il y a des surprises et à d’autres il y a une profonde on naît et qu’on monte dans le train, nous rencontrons des personnes et nous croyons qu’elles resteront avec nous pendant tout le voyage ce sont nos parents. Malheureusement, la vérité est tout autre. Eux, ils descendent dans une gare et ils nous laissent sans leur amour et leur affection, sans leur amitié et leur tous cas, il y a d’autres personnes qui montent dans le train et qui seront pour nous très importantes. Ce sont nos frères et nos sœurs, nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous aimons. Certaines considèrent le voyage comme une petite promenade. D’autres ne trouvent que de la tristesse pendant leur y a d’autres personnes toujours présentes et toujours prêtes à aider ceux qui en ont quand ils descendent, laissent une nostalgie pour toujours… d’autres montent et descendent tout de suite et nous avons juste le temps de les croiser…Nous sommes surpris que certains passagers que nous aimons s’assoient dans un autre compartiment et que pendant ce temps nous laissent voyager seul. Naturellement, personne ne peut nous empêcher de les chercher partout dans le malheureusement nous ne pouvons pas nous asseoir à côté d’eux car la place est déjà prise. Ce n’est pas grave… le voyage est comme ça plein de défis, de rêves, d’espoirs, d’adieux… mais sans de faire le voyage de la meilleure façon possible. Essayons de comprendre nos voisins de voyage et cherchons le meilleur en chacun d’entre eux. Rappelons-nous qu’à chaque moment du voyage un de nos compagnons peut vaciller et peut avoir besoin de notre compréhension. Nous aussi pouvons vaciller et il y aura toujours quelqu’un pour nous grand mystère du voyage est que nous ne savons pas quand on descendra du train pour toujours. Nous ne savons pas non plus quand nos compagnons de voyage feront la même chose. Même pas celui qui est assis juste à côté de je pense que je serai triste de quitter le train… j’en suis séparation avec tous les amis que j’ai rencontrés dans le train sera douloureuse. Laisser mes proches seuls sera si triste. Mais je suis sûr qu’un jour ou l’autre j’arriverai à la gare centrale et que je les verrai tous arriver avec un bagage qu’ils n’avaient pas quand ils sont montés dans le train. Par contre, je serai heureux d’avoir contribué à augmenter et enrichir leur tous, mes amis, faisons tout le possible pour faire un bon voyage et essayons de laisser un bon souvenir de nous au moment où nous descendrons du train. Roman publié en 1865 tout d'abord en feuilleton dans Gil Blas puis en volume, la même roman retrace le parcours initiatique d'un jeune homme prêt à tout pour conquérir la capitale et réussir. Il mettra sept années à atteindre son but, accumulant les conquêtes féminines, instruments de son ascension PARTIECHAPITRE 1Le récit commence un 28 juin et ce chapitre s'étale sur une journée. Le personnage principal Georges Duroy est un ancien sous-officier récemment employé aux Chemins de fer du Nord. Il a peu d'argent et envie ceux qui peuvent profiter de la vie parisienne. Un soir, alors qu'il se promène dans les rues de Paris, il rencontre Forestier, un ancien ami, ex-camarade de régiment, qui est devenu rédacteur politique dans le journal "La vie française". Il lui donne une leçon de vie parisienne et lui demande pourquoi il n'essaierait pas le journalisme. Forestier constate que Duroy rencontre un certain succès auprès des femmes. Il l'invite à venir dîner chez lui pour lui faire rencontrer le directeur de son 2Georges Duroy se rend au dîner des Forestier. Il séduit Mme Walter, la femme du directeur du journal qui, conquise par ses souvenirs d'Afrique qu'il a racontés avec brio, lui demande de rédiger un article sur l'Algérie où il a vécu 28 mois. Il y rencontre aussi Mme Forestier, Mme de Marelle, une bourgeoise bohème et sa petite fille Laurine. Il est tout de suite intégré "Toutes les femmes avaient les yeux sur lui".CHAPITRE 3Duroy rencontre de terribles difficultés pour écrire l'article. Il en parle à son ami Forestier qui lui propose l'aide de sa femme, qui a un talent pour écrire des chroniques. Mme Forestier l'aide à écrire son premier article et le pousse à revoir Mme de Marelle. Georges ne sait comment la remercier. Le comte de Vaudrec se présente au domicile des Forestier, il serait un "ami intime". Georges se 4Lorsqu'il sort de l'appartement, il se sent triste. Puis, il se rend à la Vie Française et donne "son" article. Walter semble satisfait sans même lire l'article. Georges obtient une embauche régulière au journal. Mais il doit écrire la suite pour le lendemain, Georges est impatient de trouver son article dans le journal. Il ressent une joie immense et beaucoup de fierté. Il donne sa démission au bureau des chemins de fer. Il prend du bon temps puis se rend au journal où il sera reçu avec froideur, d'autant qu'il n'a pas apporté la suite de sa chronique. Puis, il suit Saint-Potin qui doit lui donner des conseils pour la pratique de son nouveau chez lui, il se met au travail mais sans succès. Il se présente de nouveau chez Mme Forestier pour demander de l'aide mais il est éconduit par son mari. Il produit finalement un article mais celui-ci n'est pas publié le lendemain. Il se consacre dorénavant à une autre forme de journalisme l'écriture de reportages payés à la ligne mais cela ne lui convient pas car cela rapporte peu d'argent.Le narrateur donne dans ce chapitre de nobreuses informations sur La Vie française le journal, le directeur, les journalistes, les tâches du 5Georges est frustré ils n'est pas assez riche et les portes des grands du monde lui sont fermées. Il souvient de l'invintation passée de Mme de Marelle et se rend chez elle. Il y est accueilli chaleureusement par la mère et la fille. Il est aussitôt réinvité. Mme de Marelle organise un dîner au restaurant avec le couple Forestier. Tous les quatre mangent bien et la conversation est grivoise. Mais Forestier est en retrait car il souffre de la poitrine. Au retour, alors qu'il raccompagne Mme de Marelle, Georges l'embrasse. Ils prennent rendez-vous pour le lendemain. Le surlendemain, ils sont amants. A partir de ce moment, elle lui rend visite quotidiennement dans son petit appartement. Mais un jour, elle est prise à parti par des voisins qui l'humilient publiquement. Elle ne veut plus remettre les pieds chez Georges. Elle trouve un nouveau lieu de rendez-vous un appartement qu'elle s'occupe de louer. Elle le fait découvrir à Georges qui, dans un premier temps, se demande comment il va le payer. Mais bien vite, elle le rassure elle prend tout en continuent de se voir tous les jours et Mme de Marelle aime particulièrement fréquenter les lieux populaires. Un soir, alors qu'ils se rendent aux Folies Bergères, ils tombent sur Rachel, une maîtresse occasionnelle de Georges. Celui-ci fait mine de ne pas la reconnaître. L'autre, vexée, l'apostrophe en lui rappelant leur relation. Clotilde de Marellle est choquée que Georges ait pu utiliser son argent pour fréquenter la prostituée. Elle abandonne Georges après l'avoir traité de cochon à plusieurs reprises. CHAPITRE 6Le lendemain, il se réveille sonné. Il tente de trouver du réconfort auprès de Rachel mais elle l'éconduit. Au journal, Forestier se montre désagréable et cinglant avec lui. Pour se venger, il décide de le faire cocu et se rend chez Mme Foresitier. Mais celle-ci le remet rapidement à sa place elle ne sera jamais sa maîtresse. En revanche, elle le conseille s'il veut réussir en lui recommandant de rendre visite à Mme Walter même si là non plus, il ne sera pas question de mariage. Comme il n'a pas été invité, il lui envoie un panier de poires qu'il a acheté près de chez lui et qu'il lui présente comme fraîchement arrivée de Normandie. En retour, il reçoit une samedi suivant, il se rend chez les Walter qui logent dans une belle demeure et où les conversations littéraires vont bon train. Dans un premier temps, il n'ose prendre la parole puis il finit par donner un avis original et remarqué sur les soir-là, il se réconcilie avec Rachel. Le lendemain, il est nommé chef des échos et invité à dîner chez Mme Walter. Au journal, il remplace M. Boisrenard, jugé consciencieux mais trop honnête et manquant de "maîtrise et de chic".Il s'installe à son nouveau bureau. Forestier est de plus en plus se dit qu'il doit changer de logement et se répète qu'il doit écrire à ses parents. Il se sent un autre homme et repousse les prostituées avec d'un dîner chez les Walter, il retrouve Clotilde et tous deux renouent. Il discute aussi longuement avec Norbert de Varennes au sujet de la mort. L'autre lui décrit sa vision pessimiste du lendemain, Clotilde décide de le présenter à son mari lors d'un dîner qu'elle veut organiser avec les Forestier. Charles est de plus en plus souffrant. Mme de Marelle indique à Georges que Mme Forestier va sûrement se remarier si son mari décède. Plus tard, Georges fait ses adieux au couple Forestier qui part à Nice. Il réafirme son attachement à Mme Forestier. CHAPITRE 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher". CHAPITRE 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher".Chapitre 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre PARTIEChapitre 1Il lui rend visite régulièrement et un jour, elle lui annonce la date du mariage elle veut qu'il prévienne Clotilde et rencontrer ses parents car il ne doit pas avoir honte d'eux. Elle lui fait aussi part d'épouser un homme anobli et elle lui demande s'il peut modifier son nom. Il va devenir Monsieur Georges du Roy de Cantel transformation de Canteleu, sa bourgade natale. Une fierté l'envahit. Puis il prévient Clotilde qui s'effondre. Elle le laisse en lui disant qu'il a fait "le bon choix".Georges et Madeleine s'unissent sans cérémonie religieuse et discrètement. Puis, ils quittent Paris pour la Normandie. Dans le train, ils sont d'abord mal à l'aise, la jeune femme se montre froide et calculatrice. Peu à peu, l'atmosphère se détend et ils s'étreignent rapidement. La femme reste réservée face à l'emportement de arrivent chez les parents de Georges, les mariés se sentent mieux Georges est heureux de retrouver ses racines. Cependant, Madeleine est rapidement mal à l'aise face aux manières et au mode de vie rustiques. Elle précipite leur départ. Les parents sont surpris par ce départ 2Alors que Georges rentre chez lui avec un bouquet de roses pour sa femme, il apprend que Vaudrec est invité à dîner comme tous les lundis. Désappointé, il passe finalement une bonne soirée. Le couple se met au travail après le départ du conte il s'agit d'écrire un article en rapport avec les événements au Maroc. Cet article à teneur politique et polémique lui assure la célébrité. Madeleine, de son côté, fréquente aussi les grands de ce monde qui lui rendent de nombreuses visites. Parmi eux, Laroche-Mathieu vise le porte-feuille des affaires étrangères, c'est aussi l'actionnaire principal du groupe marche sur les traces de Forestier, à tel point que ses collègues l'appellent Forestier car leurs articles se ressemblent beaucoup. Georges en nourrit une grande haine contre son ancien ami et se met à faire sans cesse allusion à lui auprès de Madeleine en employant un ton qu'un soir, il se promène avec sa femme au Bois de Boulogne, il lui demande si elle a trompé Forestier. Elle refuse de lui répondre, mais il a la conviction qu'elle l'a fait. Il décide de ne plus penser qu'à lui même et de n'être motivé que par sa seule volonté de 3Alors qu'il rentre chez lui, il tombe sur Mme Walter et Clotilde. Madeleine lui dit que les filles Walter auraient pu être un bon parti pour lui. Le soir, il repense avec nostalgie à Clotilde et décide de lui rendre visite le lendemain. A la suite de cette rencontre, ils passe chercher Mme Walter et ses filles pour aller chez Rival assister à un assaut dans la salle d'armes. Il trouve la mère séduisante. De nombreuse personnalités sont présentes. Il s'agit d'une fête de bienfaisance. Il réalise qu'il plaît à Mme Walter. Il est heureux de son succès auprès des relations se tendent entre Georges et Madeleine. Il arrête d'évoquer Charles en l'appelant ce "cocu de Forestier". Parallèlement, il s'applique à séduire Mme Walter. Dans un premier temps, elle résiste mais cela est plus formel que sincère. Après avoir refusé l'invitation dans un premier temps, elle se présente à un diner avec d'autres amis chez Georges. Il reçoit toutes les femmes qu'il a séduites mais il porte une attention particulière à Mme Walter. Il décide de la raccompagner et lui fait une grande déclaration d'amour. Il obtient d'elle un rendez-vous pour le lendemain dans l'église de la Madeleine. Il raccompagne ensuite 4Georges attend Virginie Walter dans l'église. Lorsqu'elle arrive, il lui déclare à nouveau son amour. Elle finit par avouer qu'elle l'aime aussi. Mais restée seule, elle est dévorée par le remords et demande au prêtre de la confesser de toute urgence. Puis, elle quitte l'église après avoir retrouvé Georges et demandé de ne plus la voir en tête à tête. Il se rend ensuite au journal. Walter l'appelle Bel Ami. Il règne une grande effervescence le ministère vient de tomber. Georges rédige un article à ce sujet. Il reçoit un billet anonyme qui lui donne rendez-vous le lendemain. Il comprend que son auteur est Virginie. Le lendemain, elle se donne à 5L'influence politique du journal grandit. Du Roy travaille pour servir les ambitions politiques des grands de ce s'est lassé de Mme Walter et l'a quittée. Elle était trop envahissante. Un jour, elle lui envoie un billet pour lui fixer un rendez-vous. A cette occasion, il apprend qu'elle peut lui faire gagner beaucoup d'argent s'il participe à une opération menée en secret par Walter. Il accepte. Il retrouve ensuite Clotilde et lui donne la même information pour son mari afin qu'il profite aussi de cette aubaine. Mais celle-ci découvre les cheveux d'une autre femme sur son veston ce sont ceux de Virginie qui avait pris soin de les placer sur les boutons de la veste de son ancien amant lors de leur précédent rendez-vous. Elle le griffe puis s'enfuit. Georges décide de se venger il se met à détester meurt d'une crise de 6Vaudrec a légué toute sa fortune à Madeleine. Georges en est humilié et lui demande de partager pour moitié la somme sinon il refusera qu'elle touche l'héritage. Elle accepte en se montrant peu préoccupée par l'argent. Pour leur entourage, il s'agit de dire qu'ils ont hérité ensemble. Les tensions entre eux s'apaisent et ils retrouvent une complicité en dépensant l'argent qu'ils viennent de 7La conquête du Maroc est accomplie et Walter est devenu l'un des "maîtres du monde". Il s'installe dans un nouveau domicile très luxueux et achète un des tableaux les plus prisés du moment. Il le place chez lui et organise une soirée sur invitation pour parader. Du Roy refuse dans un premier temps puis accepte. C'est une très grande réception qui réunit le tout Paris. Il y séduit Suzanne Walter et se dit qu'elle serait décidément un bon parti. Elle s'engage à le tenir informé des demandes en mariage dont elle ferait l'objet. Pendant ce temps, sa femme ne quitte pas le ministre Laroche-Mathieu avec qui elle passe la plus grande partie de la Walter se consume de jalousie et reproche sa cruauté à Georges. Il lui impose une relation amicale si elle souhaite continuer à le retour de cette soirée, Madeleine apprend à Georges que Laroche lui a fait obtenir la Légion d'honneur. Georges estime que le ministre ne fait que payer sa dette à son égard et qu'il lui doit encore beaucoup. Ils dînent ensuite chez les 8Georges fréquente la maison Walter régulièrement. La sœur de Suzanne va bientôt se marier. Il fait une déclaration d'amour à Suzanne et lui demande de refuser toute demande en mariage et de lui faire il organise une opération policière pour faire constater l'adultère de sa femme en flagrant délit. Il y parvient en la surprenant un soir avec le ministre. Il se rend ensuite à La Vie Française ou il annonce à Walter l'adultère et la chute de Laroche-Mathieu qui en découle. Walter ne peut s'empêcher d'éprouver une certaine admiration pour 9Le divorce est prononcé. Lors d'une sortie pour aller déjeuner à Saint-Germain organisée par les Walter à laquelle Georges participe, il expose son plan à Suzanne il va l'enlever et forcer ainsi ses parents à accepter le mariage. Préalablement, la jeune fille aura demandé l'autorisation de l'épouser, mais Georges sait qu'ils refuseront chacun ayant ses propres raisons.Le plan fonctionne et Mme Walter est effondrée, terrassée par la douleur. Son mari lui reproche d'ailleurs d'être victime, comme nombre de femmes, du charme de nouveau couple rentre à 10Clotilde reproche à Georges d'épouser Suzanne "Comme tu es roué et dangereux, toi!". Elle est folle de rage et pour la faire taire elle l'accuse d'avoir couché avec Suzanne, il la frappe. Il décide de ne plus revenir dans leur appartement immense mariage s'organise c'est un événement à Paris. Le succès de Georges est immense. Tout laisse supposer que sa relation avec Clotilde n'est pas terminée et qu'il va devenir député. A l’occasion d’un enterrement, une famille se déchire. Dans cette allégorie de la France contemporaine, Chéreau prouve qu’il est avant tout un grand directeur d’acteurs. Ce qui nous frappe d’abord, à chaud, dans le nouveau film de Patrice Chéreau, ce sont des signes de proximité avec ce que l’on appellera, faute de mieux, l’univers Inrocks ». Ainsi, l’un des jeunes comédiens ressemble étonnamment à Jeff Buckley ­ ressemblance sans doute pas fortuite puisqu’on entend quasiment en même temps la voix du défunt fils de Tim tonitruer sur la bande-son. On notera dans le même ordre d’idées que la musique du film prend des allures de compil Inrocks Björk, Portishead, Alpha…, que le sujet rappelle étrangement La Vie des morts et qu’une scène en particulier, celle des portières de voitures qui claquent, semble être inspirée directement de ce film et des explications qu’en donnait Desplechin dans l’un de nos entretiens Les portières qui claquent, flaf, flaf, flaf, c’est comme les selles de chevaux dans un western ». Bref, exagéré ou non par notre propre regard, le lien secret entre le travail de Chéreau et ce journal nous rend le film sympathique et pose en même temps ses limites rigidité théorique, tentation de la pose, effet air du temps. Un artiste peintre las, fils d’industriels de la chaussure, vient de mourir ; il tient à se faire enterrer à Limoges, lieu honni de ses origines. L’art, la famille, la bourgeoisie, la province, la France entre Reine Margot contemporaine et Hôtel de France, le territoire chéraldien est reconnaissable. Or donc, ce matin-là, toute la famille éparpillée aux quatre vents de la vie se retrouve rassemblée comme un mauvais puzzle sur le quai de la gare d’Austerlitz direction Limoges, les funérailles. Ambiance de gare, agitation du départ, identification progressive des personnages dans la foule ça commence comme dans L’Homme blessé, sauf que cette fois, au lieu de rester dans les chiottes de la gare, le film prend le train. La première partie sera constituée par le trajet ferroviaire, le train Corail fonctionnant comme un théâtre fragmenté et roulant. Entre frères et belles-soeurs, femmes et amants, parents et enfants, aigreurs et désirs, passions et rancoeurs, les personnages se dessinent, la vieille scie des turpitudes familiales se précise. Chéreau filme en épousant les particularismes des lieux, l’exiguïté et l’inconfort d’un train caméra à l’épaule, gros plans, montage rapide, mouvements, saccades, fragmentation… Mais tout est surcadré, surmonté, surligné, comme si Chéreau voulait à toute force convaincre le spectateur qu’il est aussi un cinéaste. Cette ostentation de la mise en scène qui relève plutôt du tic postmoderniste est renforcée par la BO susmentionnée, conférant au film des allures de clip branché. Dans la seconde partie, celle de l’enterrement et du regroupement dans la grande demeure familiale, la mise en scène s’aligne sur la situation un huis clos théâtral, revenant à des plans plus longs et plus stabilisés, à un style plus classique. Mais là, c’est le côté usé du matériel de Chéreau qui saute aux yeux finalement, on se fiche de cet énième psychodrame familial même sous l’angle allégorique d’un portrait de la France et la présence de personnages homosexuels ne suffit pas à dépoussiérer l’aspect vieillot de l’affaire. Pourtant, le film ne manque pas de qualités intrinsèques. Ainsi, le dialogue est remarquable, ciselé à la virgule près. De même, le travail des comédiens avec mention particulière à Trintignant, Greggory et Berling est prodigieux d’intensité. Comme toujours, Chéreau s’y entend pour filmer des corps, scruter des visages, faire accoucher ses acteurs d’un texte et maintenir chez sa troupe une ligne tendue, tranchante. Mais on a ici le sentiment que tout ce superbe travail tourne à vide, que le style excède la substance, que l’Idée domine la Chair. La fusion entre théorie et incarnation n’opère que par moments fugaces le travelling arrière sur le cimetière, fulgurant, comme une image mentale funèbre de la France contemporaine, ou encore la scène entre Trintignant, Pérez et les boîtes à chaussures qui fait passer un véritable trouble… Pour le reste, Ceux qui m’aiment prendront le train ressemble plus à une théorie de film qu’à un film, produit plus d’effets cinéma que de cinéma. Chéreau reste un cinéaste qui compte il l’a déjà prouvé, mais il a ici trop forcé ses talents démiurgiques, empêchant sa création de vivre. Critiques Tout le monde connait le merveilleux poème de Jean d’Ormesson, le Train de la Vie, qui relate un voyage de la naissance à la mort et qui rappelle les essentiels de l’existence. Cette version est particulièrement émouvante et vous apportera, j’en suis sûre, de belles pensées et de beaux souvenirs… Je vous mets également le texte original de ce poème, et n’hésitez pas à le partager avec les personnes qui sont à bord de votre train… A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos on croit qu’ils voyageront toujours avec à une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyage…Au fur et à mesure que le temps passe,d’autres personnes montent dans le train. Et ils seront importants notre fratrie, amis, enfants,même l’amour de notre démissionneront même l’amour de notre vieet laisseront un vide plus ou moins seront si discretsqu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes,de bonjours, d’au-revoir et d’ succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagerspourvu qu’on donne le meilleur de ne sait pas à quelle station nous vivons heureux, aimons et pardonnons !Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage…Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage merci d’être un des passagers de mon si je dois descendre à la prochaine station,je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous !Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train. » Jean D’Ormesson La vie est comme un voyage dans un train on monte et on descend, il y a des accidents, à certains arrêts, il y a des surprises et à d'autres, il y a une profonde on naît et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes et nous croyons qu'elles resteront avec nous pendant toute le voyage ce sont nos parents! Malheureusement la vérité est toute autre. Eux ils descendent dans une gare et ils nous laissent sans leur amour et leur affection, sans leur amitié et leur tous cas, il y a d'autres personnes qui montent dans le train et qui seront pour nous très importantesCe sont nos frères et nos soeurs, nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous considèrent le voyage comme un petite ne trouvent que de la tristesse pendant leur y a d'autres personnes toujours présentes et toujours prêtes à aider ceux qui en ont besoin. Certains quand ils descendent laissent une nostalgie pour toujours…D'autres montent et descendent tout de suite et nous avons tout juste le temps de les croiser…Nous sommes surpris que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon et que pendant ce temps nous laissent voyager personne peut nous empêcher de les chercher partout dans le malheureusement nous ne pouvons pasnous asseoir à côte d'eux car la place est déjà n'est pas grave…le voyage est comme ça plein de défis de rêves, d'espoirs, d'adieux….mais sans de faire le voyage de la meilleure façon de comprendre nos voisins de voyage et cherchons le meilleur en chacun d'entre nous qu'à chaque moment du voyageun de nos compagnons peut vaciller et peut avoir besoin de notre aussi pouvons vaciller et il y aura toujours quelqu'un pour nous grand mystère du voyage est que nous ne savons pas quand on descendra du train pour toujours, Nous ne savons pas non plus quand nos compagnons de voyage feront la même chose. Même pas celui qui est assis juste à côte de je pense que je serai triste de quitter le train….j'en suis sûr!La séparation avec tous les amis que j'ai rencontrés dans le train sera douloureuse, laisser mes proches seuls sera très triste. Mais je suis sûr qu'un jour ou l'autre j'arriverai à la gare centrale et je les reverrai tous arriver avec un bagage qu'ils n'avaient pas quand il sont montés dans le contre je serai heureux d'avoir contribué a augmenter et enrichir leur bagageNous tous mes amis, faisons tout le possible pour faire un bon voyage et essayons de laisser un bon souvenir de nous au moment où nous descendrons du train. A ceux qui font partie de mon train, je souhaite unBON VOYAGE! Source Anonyme...

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